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24 mai 2010
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12:50
La tradition veut que le futur marié s'envoie en l'air..... Ce qui rend folle de rage les futures épouses, donc cette tradition a été heureusement mise de coté. Les instigateurs des enterrements de vie de garçons préfèrent, de nos jours, faire appel aux soins de streapteaseuses. Ce qui personnellement ne me plait pas plus (Moi, jalouse, non si peu). Pour mon fiancé, ses amis ont pris les mots "s'envoyer en l'air" au pied de la lettre..... Je vous laisse la petite vidéo ou l'on voit mon homme "souffrir", et faire un gros calin .... à un homme!!! Il m'a même précisé qu'il n'avait jamais tant aimé être aussi près d'un autre mec.
A vous de juger.
Voici ci dessous les commentaires de mon chéri posté avec la vidéo sur youtube.
Moniteur : Eric - www.gegeskydive.com
Des sensations indescriptibles, tellement c'est loin de toutes les références auxquelles on est habitué ...
Première et seule vraie appréhension, j'ai le vertige ... Comment ça va se passer à 4000 mètres au moment de sauter dans le "vide" ?
La réponse est simple, un regard à l'extérieur passé 1000 mètres d'altitude et là aucune trace de vertige : Les repères sont trop différents.
4000 mètres plus tard et 20° de moins par apport au sol, assis au bord de l'avion la porte ouverte. On y est presque.
Surprenant, il fait -2° et aucune sensation de froid, il fait frais mais bon.
Et hop, avant d'avoir le temps de dire ouf, plus aucun contact avec le plancher de l'avion,
Dans les premiers instants impossible de dire ou se trouve le ciel, la terre ou l'avion,
Quelques secondes plus tard on reprend ses repères.
Un bruit énorme et une chute à prêt de 200 km/h,
On perd 50 mètres par seconde et pourtant le sol semble loin, si loin,
Il ne fait pas froid, on profite simplement du panorama et des sensations.
45 secondes plus tard, un grand coup de frein,
Tellement impressionnant qu'on a l'impression de remonter dans les airs,
Les 45 secondes ont semblé courtes, incroyablement courtes et on regrette l'ouverture de la voile.
Doucement et malgré le vent, on se dirige vers la Drop Zone et on atterrit en douceur,
Le moniteur me demande les premières impressions et là, la tête ailleurs, impossible de trouver les mots,
Le corps est arrivé sur terre mais le cerveau est resté quelques centaines de mètres plus haut.
Excellent.
Des sensations indescriptibles, tellement c'est loin de toutes les références auxquelles on est habitué ...
Première et seule vraie appréhension, j'ai le vertige ... Comment ça va se passer à 4000 mètres au moment de sauter dans le "vide" ?
La réponse est simple, un regard à l'extérieur passé 1000 mètres d'altitude et là aucune trace de vertige : Les repères sont trop différents.
4000 mètres plus tard et 20° de moins par apport au sol, assis au bord de l'avion la porte ouverte. On y est presque.
Surprenant, il fait -2° et aucune sensation de froid, il fait frais mais bon.
Et hop, avant d'avoir le temps de dire ouf, plus aucun contact avec le plancher de l'avion,
Dans les premiers instants impossible de dire ou se trouve le ciel, la terre ou l'avion,
Quelques secondes plus tard on reprend ses repères.
Un bruit énorme et une chute à prêt de 200 km/h,
On perd 50 mètres par seconde et pourtant le sol semble loin, si loin,
Il ne fait pas froid, on profite simplement du panorama et des sensations.
45 secondes plus tard, un grand coup de frein,
Tellement impressionnant qu'on a l'impression de remonter dans les airs,
Les 45 secondes ont semblé courtes, incroyablement courtes et on regrette l'ouverture de la voile.
Doucement et malgré le vent, on se dirige vers la Drop Zone et on atterrit en douceur,
Le moniteur me demande les premières impressions et là, la tête ailleurs, impossible de trouver les mots,
Le corps est arrivé sur terre mais le cerveau est resté quelques centaines de mètres plus haut.
Excellent.
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